Javascript Menu by Deluxe-Menu.com Jean de La Fontaine : Les morales des fables
portrait de Jean de La Fontaine le corbeau de la fable jardin de la maison natale actuellement le perron de l'entrée de la maison

animaux

 

JEAN DE LA FONTAINE :

                       LES MORALES DES FABLES

B  C  E  F  M  V    

Vautours (les) et les Pigeons (VII, 8)

Tenez toujours divisés les méchants ;
La sûreté du reste de la terre
Dépend de là : semez entre eux la guerre,
Ou vous n'aurez avec eux nulle paix.

Vieillard (le) et l’Ane (VI, 8)

 Notre ennemi, c'est notre maître :
Je vous le dis en bon françois ;

Vieillard (le) et les trois Jeunes Hommes (XI, 8)

 Pas de morale exprimée dans cette fable dans laquelle La Fontaine nous conte l'histoire d'un vieillard faisant des projets d'avenir (il faisait des plantations), méprisés par trois jeunes du voisinage... qui moururent les premiers !
La fable montre que la mort nous guette à tout âge.

.................................................Est-il aucun moment
Qui vous puisse assurer d'un second seulement ?

Vieillard (le) et ses Enfants (IV, 18)

Toute puissance est faible, à moins que d'être unie.

Vieille (la) et les deux Servantes (V, 6)

             C'est ainsi que le plus souvent,
Quand on pense sortir d'une mauvaise affaire,
             On s'enfonce encore plus avant

Vieux (le) Chat et la Jeune Souris (XII, 5)

La jeunesse se flatte, et croit tout obtenir
             La vieillesse est impitoyable

Villageois (le) et le Serpent (VI, 13)

Il est bon d'être charitable :
Mais envers qui, c'est là le point.
Quant aux ingrats, il n'en est point
Qui ne meure enfin misérable.

Voleurs (les) et l’Ane (I, 13)

Deux voleurs se battaient pour un âne, qui fut enlevé pendant ce temps par un troisième voleur .
La leçon de la fable est que la mésentente est toujours néfaste.
Il faut la mettre en relation avec la complexité des problèmes politiques de l'Europe centrale.

lire les fables